AU SECOURS ! LES PIEMONTAIS SE REBELLENT !

boundzârt a tou !
qué té qu'i se pase de l'ôtro câro de lez Arpe ? nouro queûzin dou Pièmoun o soun en colère ! de qué ? berluscotoentouen o vou fâr pasâr un trin dsu le tére de Nouvaleize, pai de ma gren mâre ? dzusto a pià de l'abayì dou 9 èmo sièclo ? e ol a parien demandâ o moundo de li-bâ ?
ardi z-éfé ! betâ-lo tou defôrt élo centuriô, élo môchu de la vlâ qu'en oun parien a fôtre de nôroun bé pai ! mourâ-lour a tou élo câsadjéra qui qu'o soun lo mêro dle z-arpe ! viva lo graiosèlo ! viva lo Salase !

RASEZ-MOI CES MONTAGNES
EDIFIEZ UNE STATUE
A LA GLOIRE DE MON CUL
VIREZ-MOI CES PAGU
QU'ON LES ENVOIE AU BAGNE
QUE L'ORDRE ENFIN REVIENNE
SUR LES MONTS ET LES PLAINES

berlu (ce con, nie!)

Hardis les Arpitans !!
Les Césars tout au fil du temps,
En ont bavé pour nous la foutre dedans,
L'Histoire est un éternel recommencement,
Et c'est pas aujourd'hui qu'on va yalâ to plyan !!

Bon les gars si vous avez des infos ce serait sympa de les balancer sur ce sujet ! J'allais d'ailleur en créer un.
Par exemple, les quantités d'uranium dans la montagne ...
Les manifestations du côté Italien et l'état de la population par rapport à la grosse mobilisation policière dans le coin.
Des témoignages, des amis là-bas ?

bon, rien que pour toi alors !
je vais me renseigner illico...

puce a écrit:

Par exemple, les quantités d'uranium dans la montagne ...

Un site idéal pour le stockage des déchets nucléaires, donc

C'est drôle comme situation: En général, les régions de montagne apprécient lorsque des infrastructures passent par chez elles. ça apporte quelques postes de travail dans la surveillance, les secours, la maintenance etc...

Est-ce que le problème se pose dans le fait qu'il n'est pas construit de tunnel ou de tranchée couverte d'accès, afin que les vallées étroites ne souffrent pas de nuisances ?

Peut-être que c'est plutôt que personne ne veut de quinze ans de dérangement ? (J'ai mis quinze, mais c'est une supposition pour fixer les idées)

http://rebellyon.info/article1172.html
ou (on parle du CG de Savoie) :
http://grenoble.indymedia.org/index.php?page=article&filtre=1&droiteA=1&numpageA=1&id=1615

Les JO 2006 menacés par les NO TAV: http://grenoble.indymedia.org/index.php?page=article&filtre=1&numpageA=1&id=1650

J'ai suivi les deux liens:
Le premiers ne m'apporte strictement rien: Sous un portail du style L'Orient est rouge, on y parle de manifs, sans pour autant en donner la raison.
Le deuxième est plus intéressant, mais je ne comprends toujours pas pourquoi:

En Suisse, il y avait trois régions et la grande majorité de leurs populations qui espéraient que les nouveaux tunnels ferroviaires passent chez eux. Quand les Alémaniques ont essayé de réduire à seulement un, au Gotthard, les Romands et les Alémaniques de l'Ouest de la Suisse se sont ligués afin que soit percé une deuxième tunnel, au Loetschberg.
À Martigny, on rêve d'un tunnel ferroviaire de base vers Aoste.

Donc, pour moi la question demeure. J'ai plutôt l'impression que ce sont les mesures d'accompagnement et l'aspect environnemental qui posent problème.

Évidemment, si la majorité de la population vit sur le futur chantier, je les comprends un peu.

Chablaisien a écrit:

J'ai suivi les deux liens:
Le premiers ne m'apporte strictement rien: ...

Je l'ai mis parcequ'en faisant une recherche je suis partie de celui là pour trouver les autres. (articles précédents).

Une lettre publiée sur indymedia-piémont:
(Extraits traduits de l'italien)

"Nous voudrions expliquer au président de la Chambre, l'honorable Pier Ferdinando Casini, que le TGV Turin-Lyon traverse les vallées olympiques depuis 8 bonnes années, jamais contesté par personne, avec six convois quotidiens (...) toujours pratiquement vides. Les chemins de fer italiens ont en outre, depuis septembre 2004, supprimé le super-train rapide Pendolino sur la même ligne à cause du trop faible nombre de passagers. Nous informons par ailleurs que le val de Suse est (...) déjà occupé par une ligne de chemin de fer internationale (Turin-Modane), une autoroute, trois cols alpins, deux routes nationales et deux départementales, deux gazoducs, deux lignes à haute tension, (...) un fleuve et 18 torrents (qui nous offrent tous les 5 ou 6 ans une inondation) et, là où il reste de la place, par nous autres 70.000 habitant-e-s, avec le record des tumeurs dans le Piémont (40% de plus par rapport aux autres cantons piémontais). Nous précisons qu'aujourd'hui les TGV voyagent déjà à 160 km/h sur la ligne actuelle, qui est utilisée à 38% de ses capacités alors que tous les jours nous accueillons 35% du trafic de marchandises de tout l'arc alpin. Et maintenant le projet de TGV prévoit dans notre pauvre vallée encore 64 km de galeries creusées dans des montagnes pleines d'amiante, nonobstant l'interdiction par l'Union Européenne de l'extraction de ce minerai depuis 8 ans. Ils veulent ouvrir au moins 12 chantiers dans les filons d'amiante. Pourquoi ? Ces derniers temps on nous traite comme des montagnards ignorants et rétrogrades. (...) La fermeté de notre protestation n'est pas dictée par des motifs idéologiques mais seulement par la raison des données que les responsables du projet eux-mêmes nous ont fournies dans les 15 dernières années (qui ont déjà coûté 1100 milliards de vieilles lires [environ 500 millions d'euros], dépensées par la société Alpetunnel qui a déjà fait faillite)."
Giuseppe Dolfini et Jacopo Suppo
http://italy.indymedia.org/news/2005/12/940657.php

Je constate que c'est plutôt une affaire d'arrogance des centres urbains vis à vis des vallées alpines, avec son cortège de problème, et d'incapacité des technocrates de ces mêmes centres à prendre en compte les intérêts des populations touchées.
J'imagine aussi, comme je le présumais déjà, que c'est une affaire de gros sous.

Il existe deux autres possibilités, via la Suisse:
A: Par Brigue:
1.- Faire la ligne TGV Lyon-Genève
2.- Faire circuler le TGV de Lyon à Brigue, au carrefour de la ligne nord-sud entre (Bruxelles- Bâle-) Berne-Milan-Turin via le Loetschberg et le Simplon.
3.- Depuis Brigue, trajet vers Milan et Turin en TGV ou en Pendolino.

B: Par Martigny-Aoste:
Comme ci-dessus, mais via Martigny, au travers d'un tunnel de base Martigny-Aoste à construire, puis d'Aoste vers Turin, Milan ou les deux.
Cette solution aurait pour avantage de désenclaver Aoste et de passer là où les plaines sont assez larges. Rien n'empêcherait de faire un maillage par Brigue, qui dans ce cas ne coûterait absolument rien de plus en termes d'infrastructures et permettrait d'assurer la continuité du service en cas de problème sur l'un des trajets.

Il faut noter que les deux solutions via la Suisse ont pour avantage de passer le long du Rhône et d'être pratiquement rectilignes. Pour un TGV, ça aide. Dans la vallée d'Aôste, c'est pareil: Les parcours sont pratiquement rectilignes.

de penso qu'o z-é trovâ lo problèmo; écolodjico e poui comen d'abeteude de gro sout; lo mochu que s'en fôto dou moundo que rèsto den lo pai...

avec les monchus t'es prévenu ils te la metteront dans le cul et après c'est plus dur de faire caca...
alors méfiat...

faut le mettre sur des fausses pistes le monchu ou alors se faire prendre pour un con ça peut marcher aussi...

Ah non ! ce n'est pas vrai que quand on en a eu dans le cul, il est ensuite plus difficile de chier : c'est tout le contraire ! En tout cas, c'est ce que j'ai lu. Personne ne peut en témoigner, ici ?

Si je comprends bien personne n'est vraiment au jus de ce qui se passe là-bas? Tout à côté de chez vous, des manifs et des mobilisations pareilles ne font aucun remous par delà la frontière française?

je demande, je demande... patience et longueur de temps qu'i disait...

Lôren' a écrit:

je demande, je demande... patience et longueur de temps qu'i disait...

tic tac tic tac...

... boum !

http://www.indymedia.org/fr/2005/12/829626.shtml

NO TAV CHANTIER OCCUPÉ Des moments très violents et sûrement aussi des fliks ont été blessé. photos http://www.corriere.it/gallery/Cron... photos http://www.repubblica.it/2003/e/gal... vidéohttp://www.repubblica.it/2005/l/vid... des manifestent appellent au calme et disent de ne pas être violent les autre leur répondent que leur "vieux" ont été tabassé pendant que éteint entrain de dormir et le pacifisme est terminé. maintenant un millier des personnes reste sur les lieu pour occuper les fliks le reste de la manif part vers l’autoroute pour rejoindre venaus à pieds. Une camarade des syndicats de base Cub et institutrice dans la vallée à été tabasse au visage. avec le visage plein de sang mais elle veut continuer la marche. 13h20 c’est excellent ! des milliers des gens sont passé par les bois, des autre sont passé par le chekpoint. il y a des gens partout que descendent la montagne. Les terrains de l’assaut de chantier sont occupé, le grillage demontlé. les fliks 250 sont encerclé apres une dizaine de minutes sont fuit à larrivé des 10.000 personnes, le lance de lacrymo ne marche pas parce que il y a un fort vent. Beaucoup de gens les poussent à s’enfuir. Est arrivé le container et commencent les travaux pour reconstruire le "champ anti-Tgv". Des grosse barricades avec des arbres sont erigé sur la routte. 14h00 les campingcar et les containers des policiers sont détruits (dans le chantier) assemble sur le chantier, les maires (que sont anti-TAV et presents en premierefile aux manifestations) discutent avec les manifestant sur la trattative avec la police. la barricade tien des centaines des policiers mais les gens fatiguée des plusieurs jours s’envent à manger et se rechauffer. la neige continue tomber. Semble que la police veut charger pour réoccuper le chantier. écouter radio onda d’urto http://81.116.177.34:8000/listen.pls écouter radio blackout http://www.ecn.org/blackout/allegati/radio.pls

http://www.raa.france3.fr/info/16367720-fr.php

C'est bien joli d'être sur le terrain
Mais savez-vous ce que votre Parlement Européen a concocté ce mercredi ?

Une vignette poids-lourds paneuropéenne dès 2010. Là, c'est très bien: rien à redire.

En lisant bien, on trouve qu'il sera possible de surtaxer pour certains axes, comme les Alpes: Là encore: Excellent, rien à redire.

Le produit de cette surtaxe sera obligatoirement affecté à des projets prioritaires de transports transeuropéens comme, dans les Alpes, le projet de ligne ferroviaire Lyon-Turin.

Les politiciens italiens et français, les citoyens du Val de Suse ont la possibilité de les tenir par les c...

Je m'explique: S'ils ne trouvent pas de terrain d'entente avec les citoyens concernés: Adieu les sous

http://nice.indymedia.org/IMG/jpg/mani17dicinternet.jpg

C'est marrant cette démobilsation des maires. Surtout quand on voit qu'entretemps ils ont eu un entretient avec berlusco !
Mes jeux Olympiques! gla gla gla...

Aujoud'hui, il y a eu un reportage à la télé sur la manif qui a eu lieu.

Chablaisien a écrit:

Aujoud'hui, il y a eu un reportage à la télé sur la manif qui a eu lieu.

C'était sur quelle télé?

Arte ou TV5.

La nouvelle était aussi sur le télétexte de TSR et TV5.

samedi 7 janvier 2006
14h00 - Chambéry, place du Palais de Justice - Manifestatin contre le tunnel Lyon-Turin et debat
Voir l'article Vise un peu la gueule du train...
( http://paris.indymedia.org/article.php3?id_article=48967 )

Manifestation le 7 janvier à Chambéry, 14h, place du Palais de Justice

Débat public à 18h : Pourquoi et comment lutter contre le Lyon-Turin ? avec la participation d'italiens du Val Susa, Espace Pierre Cot, quai des Allobroges

TGV Lyon-Turin : les Verts et le développement duraille

Publié mercredi 4 janvier 2006 / http://rebellyon.info/article1403.html


Le ferroutage est l’avenir de la marchandise.

(...)

Éternels gestionnaires des nuisances, les Verts français ont la solution pour absorber les flux croissants de marchandises : le ferroutage, soit le transport des camions de marchandises ou des conteneurs par des trains. « Initialement le Lyon-Turin était un projet voyageurs, ce sont les Verts qui lui ont fait prendre le virage du transport des marchandises » [4], se flatte Gérard Leras. Le président de la communauté de montagne de la basse vallée de Suse, Antonio Ferrentino, raconte une autre histoire : « Au départ, la TAV (NDR : le TGV) Lyon-Turin est née comme un projet pour les passagers. Puis les promoteurs se sont rendu compte que les perspectives n’étaient pas suffisamment importantes. Ils ont donc ajouté le projet de transport ferroviaire pour les marchandises et les camions. » [5] Qu’importe. Pour Leras, « il est désormais indispensable de faire des études sur les flux de marchandises existants et à venir pour prouver à la population l’utilité de cette nouvelle liaison ferroviaire à grande vitesse. » [6] Notons qu’il s’agit d’abord de lancer le "chantier du siècle", et ensuite de réaliser les études qui prouveront son bien-fondé. Décidément les socialistes rhônalpins peuvent se féliciter de l’audience qu’ils ont acquise auprès des Verts, qui ont adopté jusqu’à leurs process inversés. Sans doute prévoient-ils ensemble pour 2020 un débat citoyen sur l’opportunité du Lyon-Turin.

(..)
« Il ne faut pas oublier que le trafic entre la France et l’Italie doublera dans les 20 prochaines années. (...) Réfléchissez seulement au fait que la région Rhône-Alpes est l’un des 4 grands moteurs économiques européens, avec la Bade-Wurtemberg, la Catalogne et la Lombardie (...) Vous comprenez, le Lyon-Turin a une grande importance stratégique en Europe : c’est le chaînon manquant de l’axe ouest-est qui permettra de relier Lisbonne à Kiev. Et Lyon sera justement un carrefour fondamental avec l’axe nord-sud, celui qui va de Londres à Naples. » Au moins Bernard Soulage parle-t-il franc : l’objectif du Lyon-Turin, c’est le maintien de Rhône-Alpes en tête des régions les plus riches d’Europe, la croissance de son activité, donc les flux de toutes sortes.
Comme de règle pour toute nouvelle infrastructure, le ferroutage contribuera à la hausse du trafic des marchandises, facilité par la nouvelle ligne. Le Lyon-Turin ne réduira pas le trafic mais l’augmentera, il est conçu dans ce dessein.

Le ferroutage par le Lyon-Turin sert beaucoup d’intérêts particuliers. Celui des tenants du "développement durable", qui prétendent défendre l’environnement des vallées asphyxiées par les camions (Mont Blanc, Maurienne) Celui des industriels, transportant toujours plus de marchandises d’un bout à l’autre de l’Europe, qui multiplient délocalisations et sous-traitance de la production. Celui enfin des élus de Rhône-Alpes et du Piémont, qui clament la création de "milliers d’emplois" sur le chantier et promettent le "rayonnement international" de leur région. (...)

Arpitania yon, Rebell yon, ils sont partout ces arpitans

5000 manifestants contre le Lyon TurinNO TGV NO TAV

Samedi 7 janvier 2006, une manifestation bilingue de 5000 personnes a parcouru le centre-ville de Chambéry dans tous les sens… La banderole de tête, « Non au TGV Lyon-Turin, logique de profit, logique de mort », était portée par le collectif Rhônalpin contre le Lyon-Turin, et ouvrait un bal d'autres slogans et de drapeaux « No TAV » (« non au TGV » en italien) rouges et blancs.

Près de 80 cars de manifestant-e-s sont venus du Val de Suse (Piémont), une vallée déjà couverte de viaducs et menacée par les nuisances de 15 ans de chantier : l'opposition massive au TGV y bouillonne depuis une dizaine d'années, et a empêché ces derniers mois le début des travaux, à coups d'occupations, de blocages, de grèves sauvages et de cortèges interminables. Les premiers cars, partis tôt le matin, ont fait halte dans les différentes communes de la Maurienne pour y diffuser des tracts où les Valsusain-e-s avaient traduit en français les raisons de leur colère, espérant casser le consensus mou pro-TGV qui règne de ce côté-ci des Alpes et tisser des liens avec les populations françaises qui pâtiront des mêmes nuisances.

La distribution d'information (ainsi que de panettone, ou encore de mousseux) a donc abondamment continué dans les rues de Chambéry, alors que les passant-e-s découvraient l'ampleur et l'enthousiasme de la révolte de leurs voisin-e-s, aux sons des chants alpins ou partisans, des fanfares et des batookadas. Rappelons que le maire de Chambéry, Louis Besson, est co-président de la commission inter-gouvernementale sur le Lyon-Turin, et que c'est dans la capitale savoyarde que siège la société d'exploitation « Lyon-Turin Ferroviaire ».

A 18h, un long débat a démarré dans la salle Pierre Cot. Le collectif Rhônalpin contre le Lyon-Turin commençait par s'y présenter : ouvert à tout-e individu-e mais dissocié de toute organisation politique, il est né en décembre 2005 à l'initiative de celles et ceux qui, à Valence, Grenoble ou Chambéry, avaient commencé à faire de l'information sur le sujet par des débats ou des rassemblements. Il a présenté ensuite les motifs de son opposition au projet, suivi d'intervenants italiens (parmi lesquels Luca Mercalli, présentateur météo sur Rai Tre, avec son nœud papillon) qui ont transmis en français leurs arguments techniques, présentations powerpoint et mots d'humour. De nombreuses prises de parole, françaises ou italiennes, ont évoqué entre autres les principes de décroissance, les coûts écologiques gigantesques du chantier, les surestimations de l'augmentation du trafic France-Italie, les liens entre le projet de TGV et celui de Sillon Alpin, la répression en Italie contre le mouvement No Tav, la tradition du mouvement ouvrier en val de Suse, l'expérience acquise par cette lutte en termes d'auto-organisation, etc… La discussion s'est terminée à 22h avec des perspectives de lutte ensemble des deux côtés de la frontière, et l'espoir, côté français, que cette journée puisse donner de la force aux dissidences face au faux discours écologique du Lyon-Turin.

Luge (n'hésitez pas à compléter ce récit dans les commentaires !)

Des photos de la manif : http://italy.indymedia.org/news/2006/01/961996.php

Pour les personnes intéressées, le contact du collectif Rhônalpin contre le Lyon-Turin : nonaulyonturin@no-log.org

Source : http://paris.indymedia.org/article.php3?id_article=49500

On dirait bien qu'ya du patois sur les banderoles aussi ... Cool.

Cyrano a écrit:

On dirait bien qu'ya du patois sur les banderoles aussi ... Cool.

OUi j'ai cru voir ! Mais étant donné que je ne suis pas une spécialiste j'allais le demander !

Conclusion: Faites passer le TGV par le Simplon (qui provient de l'axe rhénan, donc la Mer du Nord, donc Londres, ne l'oublions pas) ou un tunnel de base au Grand-Saint Bernard.

Cette dernière solution aurait l'avantage de permettre une circulation ferroviaire du Valais vers Aoste, et de désenclaver le Val d'Aoste. Tout bénèf, donc

Et en plus, la SNCF pourra demander des subventions à la fois à Rome et à Berne.

Le tunnel du Saint-Bernard est déjà dans les cartons.

Vivement le pic de Hubbert.